Les porte-bonheurs de la chance
Tout le monde apprécie d’avoir de la chance, et notamment les joueurs de casino en ligne. Depuis toujours, certaines plantes ou certains objets sont considérés comme des porte-bonheurs, et certaines superstitions ont traversé plusieurs millénaires pour être encore présentes aujourd’hui. Dans cet article, nous vous présentons cinq porte-bonheurs à trouver pour multiplier vos chances de gagner.
1. Le maneki-neko
Le maneki-neko signifie littéralement « chat faisant signe » en japonais. Il s’agit des figurines que vous voyez généralement à l’entrée des boutiques ou des restaurants asiatiques. Ce chat qui vous salue de la patte est un bobtail japonais. Actuellement fabriqué en céramique ou en plastique, il s’agit d’un porte-bonheur pour les populations asiatiques. Le maneki-neko est souvent couleur or pour la richesse, blanc pour la chance, noir pour éloigner le mauvais œil, et rouge pour la santé. Si le chat a la patte droite levée, c’est dans le but de gagner de l’argent, tandis que s’il a la gauche levée, c’est pour attirer plus de clients. La première fois que ce porte-bonheur a fait son apparition, c’était dans les années 1850, à la fin de la période Edo.
2. Le bambou
Le bambou est une plante que l’on considère comme étant un porte-bonheur, notamment en Asie. Les différents arrangements de bambous peuvent avoir des significations selon le Feng Shui. Trois bambous sont censés attirer le bonheur, tandis que cinq bambous vous rendront riche. Sept bambous vous donneront une bonne santé. 21 bambous apporteront une santé durable et une grande richesse ! D’ailleurs, il existe une espèce spéciale pour la chance : le dracaena sanderiana, qu’on surnomme le « Lucky Bambou ». Ce bambou pousse dans les forêts tropicales d’Asie. Aujourd’hui, il est très facile de trouver des bambous à acheter à bas prix. La plante est très simple d’entretien : il faut simplement un peu de lumière et de l’eau une à deux fois par mois.
3. Le Money Tree
Le Money Tree est l’une des autres plantes utilisées dans le Feng Shui afin de porter bonheur aux habitants d’un foyer. Cet ensemble de trois ou cinq arbres est souvent présenté sous la forme d’une tresse, formée lorsque les plantes étaient encore jeunes et flexibles. L’idéal est d’avoir trois ou cinq plantes dans la maison, mais d’éviter absolument d’en avoir quatre. Le Money Tree est connu sous le nom de Châtaigner de Guyane ou Pachira Aquatica. Il vient d’Amérique centrale et du Sud. Selon la légende, un paysan pria afin d’obtenir plus d’argent, puis il découvrit cette plante. Convaincu de son pouvoir de porte-bonheur, il en vendit et réussit à devenir riche de cette façon. Ce châtaignier est simple d’entretien : il faut le placer loin de la lumière directe, et humidifier sa terre tous les dix jours. Il faudra simplement rempoter l’arbre tous les deux ans environ avec du terreau frais.
4. Le fer à cheval
Les fers à cheval sont considérés comme des porte-bonheurs depuis très longtemps. Fabriqués en fer et composés de sept trous pour les tenir en place avec sept clous, les fers à cheval ont toujours été réputés pour éloigner les mauvais esprits. La position du fer à cheval pour qu’il apporte de la chance n’est pas clairement définie et varie selon les croyances des propriétaires du fer. Cependant, on positionne en général les pointes vers le haut. Le fer à cheval est considéré comme porte-bonheur grâce à sa matière d’une part. Le fer repousse les esprits malveillants. D’autre part, la forme du fer en croissant de lune était le porte-bonheur des Romains. Chez les chrétiens, on considère qu’il représente le C de Christ. Par ailleurs, lorsqu’on trouvait autrefois un fer à cheval sur le chemin, on pouvait le vendre à un forgeron contre un petit pactole : c’était ainsi un signe de richesse ! Pour augmenter la puissance du fer à cheval, certains l’associent à un autre porte-bonheur : le trèfle à quatre feuilles.
5. Le trèfle à quatre feuilles
Le trèfle à quatre feuilles est considéré comme un porte-bonheur dans la tradition irlandaise. D’ailleurs, lors de la Saint-Patrick, on en trouve en abondance en vente. La plante est également représentée sous toutes ses formes dans les lieux de fête. Le trèfle à quatre feuilles est une variante rare du trèfle normal qui ne se compose que de trois feuilles. Personne ne sait d’où a vraiment commencé la superstition du trèfle à quatre feuilles. On pense cependant que sa rareté peut en être la cause : en 200 avant J.-C. à l’époque de Jules César, les druides celtes mentionnaient déjà ces plantes rares comme des plantes sacrées. Chacune des feuilles représente quelque chose : l’espoir, la foi, l’amour et la chance.